la future promo en formation : folie d'un week-end
Week-end dans le Vercors avec une bonne bande de ouf.
Départ vendredi soir, avec, Romain moniteur sportif, juste un peu en retard d’une heure. 
Le voyage s’est bien passé. Nous sommes arrivés dans la soirée, et nous fûmes agréablement surpris par la beauté du trois épis. Il y faisait chaud et bon vivre.
Nous nous sommes aisément installé, bien bu et bien mangé pour se préparer à la randonnée.
Mais à notre grand étonnement, la neige avait recouvert les montagnes de son doux manteau blanc. Nous avons dû marcher sur le sol mou des flocons, affronter le vent qui glaçait nos mains.
Dans la brume, un chamois guida nos pas sur les sentiers disparus.
La vue n’était plus. N’étions-nous pas perdu ? Non, car Super Romain était là pour nous montrer le chemin. Pour seule récompense, une très belle table d’orientation peinte à la main, située au milieu des nuages.
La faim nous a pris le ventre, nous étions épuisés, gelés, nous avons essayé de nous abriter du vent grâce à un télésiège. Nous ne pouvions continuer, il nous fallait rentrer.
Quand nous aperçûmes le gîte, une satisfaction et un soulagement nous transperça le corps. Nous avions réussi.
Nous ne pensions plus qu’à une chose : LA RACLETTE, des kilomètres et des kilomètres de fromages, des charcuteries de vins blanc, quelle orgie nous prenait , nous ne pouvions résister à la tentation. La digestion fut lourde, très lourde.
Après cette rude journée qui ne nous avait pas épargné, le sommeil fut réparateur. Et comme la nuit porte conseil nous avons décidé, qu’après un grand ménage, il nous fallait partir nous séparer ; pour mieux se retrouver le lendemain neuf heures.
Le voyage s’est bien passé. Nous sommes arrivés dans la soirée, et nous fûmes agréablement surpris par la beauté du trois épis. Il y faisait chaud et bon vivre.Nous nous sommes aisément installé, bien bu et bien mangé pour se préparer à la randonnée.
Mais à notre grand étonnement, la neige avait recouvert les montagnes de son doux manteau blanc. Nous avons dû marcher sur le sol mou des flocons, affronter le vent qui glaçait nos mains.
Dans la brume, un chamois guida nos pas sur les sentiers disparus.
La vue n’était plus. N’étions-nous pas perdu ? Non, car Super Romain était là pour nous montrer le chemin. Pour seule récompense, une très belle table d’orientation peinte à la main, située au milieu des nuages.
La faim nous a pris le ventre, nous étions épuisés, gelés, nous avons essayé de nous abriter du vent grâce à un télésiège. Nous ne pouvions continuer, il nous fallait rentrer.
Quand nous aperçûmes le gîte, une satisfaction et un soulagement nous transperça le corps. Nous avions réussi.
Nous ne pensions plus qu’à une chose : LA RACLETTE, des kilomètres et des kilomètres de fromages, des charcuteries de vins blanc, quelle orgie nous prenait , nous ne pouvions résister à la tentation. La digestion fut lourde, très lourde.
Après cette rude journée qui ne nous avait pas épargné, le sommeil fut réparateur. Et comme la nuit porte conseil nous avons décidé, qu’après un grand ménage, il nous fallait partir nous séparer ; pour mieux se retrouver le lendemain neuf heures.