L’école à magamana

Publié le par tey-tey!!

Le chantier sur le lequel nous travaillons, Yves, Geneviève, Karine, Lucy, Khadîdja et moi même, Jean, est situé dans une école où les élèves sont présents, et suivent « assidûment » les cours. Ils sont âgés de 6 à 16 ans (l’école est obligatoire dés 6 ans  et le taux d’alphabétisation avoisine les 90%), et étudient en uniformeecoliers-en-uniforme-copie-1.JPG

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Les maîtresses, elles, sont toutes parées de magnifiques saris. La directrice nous a accueilli chaleureusement et nous tient compagnie dés que faire ce peut.




Quant aux enfants, qui ont des recréations en alternance, ils sont très curieux, (c’est sûrement les premiers blancs qu’ils voient) ; après quelques instants de timidité, les premiers échanges de sourires commencent, puis fusent de toutes part en merveilleux éclats étincelants, il y a bien longtemps que je n’avais souri autant, et j’ai des crampes aux zygomatiques, ( ! ) . l’apprivoisement se fait doucement, les enfants participants parfois aux travaux , les-enfants-participent-aux-travaux.JPGcricket.JPGavec plaisir pour la plupart, ce qui nous rapproche encore, et certains ont commencé à nous initier au cricket (sport national !) ,
















pour l’occasion, nous avions bricolé une batte de fortune, .



















Pour le midi, nous gravissons un pittoresque escalier et nous mangeons dans un cadre idylliqueescalier.JPG ,












les habitants nous préparent de délicieux repas , où le riz est bien sur omniprésent, mais aussi du poisson, du poulet, de la noix de coco, des feuilles en salade semblant aux épinards, des pommes de terres douces et toutes sortes de plats, tous plus délicieux les uns que les autres.

L’après midi se passe sans les  enfants, les cours se terminant à 13H30, (début à 7h30), pour l’instant, tout se passe bien, doucement les enfants s’habituent a notre présence, nous apprenons quelques mots (tata=  coucou) mais leurs vacances commençant le 7 décembre et finissant début janvier, nous passerons un mois sans les voir, ils vont nous manquer.

 

jean

Publié dans chantier magamanna

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